Le Grande Buenos Aires sur lequel nous devons embarquer avec Zébulon ne cesse de prendre du retard. Lorsque nous avons réservé notre passage il y a plus d'un an nous devions embarquer le 10 décembre et là, aux dernières nouvelle, le départ ne se fera que le 20 ou le 21. Bon, ce n'est pas bien grave, un cargo ce n'est ni le TGV ni l'avion et il paraîtrait que ce retard serait dû à la panne à Dakar du bateau précédent qui aurait obligé à détourner le Grande Buenos Aires de sa route.
En attendant, notre stress du départ ne cesse d'augmenter fait d'excitation, d'inquiétude malgré tout de l'inconnu, 1 an c'est long, et de la mélancolie de laisser, famille et amis, surtout les enfants en France . Mais bon, on ne va pas se plaindre non plus et puis Skype nous permettra de rester en contact vidéo-téléphonique aussi souvent que possible.
En plus, il nous manque plein de trucs à terminer, sans compter le chargement de Zébulon. Alors, au boulot.
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